Entreprise en Vie

L'entrepreneuriat responsable et solidaire


Le Festival du Film Entreprise en Vie, une nouvelle façon d’apprendre l’Entrepreneuriat Responsable et Solidaire.

Le Festival du Film Entreprise en Vie, une nouvelle façon d’apprendre l’Entrepreneuriat Responsable et Solidaire.

La pédagogie "Entrepreneuriat Responsable et Solidaire " s’appuie sur une découverte "terrain" d’entreprises locales dans une logique participative, collaborative et ludique.

  • 1) Utilisation d’outils audiovisuels pour que les équipes d’étudiants fabriquent un produit visible (dont ils sont les auteurs) qu’ils partagent avec un public composé d’autres étudiants, d’enseignants, d’entreprises mais aussi d’institutionnels.
  • 2) Travail en équipe (diversité des étudiants Entrepreneuriat/ audiovisuel/voire autres étudiants d’écoles d’ingénieur, lycées ou collèges) qui amorce de façon concrète les premières bases du management "collaboratif" et "pragmatique" des PME : l’Entrepreneuriat Responsable et Solidaire (ERS), basé sur l’engagement dans l’action, l’appropriation du résultat et le choix de partager les fruits de ce même résultat, est un référent universel qui peut s’appliquer à tous les modèles d’entreprise : artisanat, commerce, industrie, service, économie sociale et solidaire. L’ERS permet de bâtir les bases d’une économie de progrès, de respect et de partage. Une économie où la pratique "métier" est en totale complémentarité avec les objectifs de l’offre et du marché. L’offre ou la marque doit se construire sur un système de valeurs, sur lequel les individus qui décident de travailler ensemble, dans une même organisation, partagent une histoire entrepreneuriale commune. C’est une économie basée sur l’action, le résultat et le partage. Elle doit démontrer sa capacité à se rendre utile et solidaire à l’égard de son client, qui lui-même doit se rendre utile et solidaire à l’égard de ses propres clients et partenaires. Tout un environnement où se mêlent de nombreuses cultures, de nombreuses pratiques, de nombreuses énergies intégrées dans des territoires aussi uniques et complexes les uns que les autres. L’homme est bien au cœur de cet écosystème et doit porter la voix de l’entreprise dans le cadre d’une dynamique collective.
  • 3) Collaboration avec les entreprises de leur territoire : le partage commence dans l’économie de proximité. Le choix de sélectionner des modèles d’entreprises pour les présenter en vidéo se fait en fonction des valeurs qui sont véhiculées par les dirigeants de PME et selon leur volonté de transmettre des connaissances en management opérationnel ; les étudiants sont préparés à aborder leur découverte sous l’angle action/résultat/partage dans un écosystème où l’environnement territorial est à la genèse de la dynamique entrepreneuriale. Ensuite, il s’agit pour les étudiants de faire valoir les actions de partage à travers la réussite de ces entreprises sous l’angle de la création d’emplois et le développement des compétences. Les étudiants comprennent bien alors la valeur ajoutée sociétale d’une entreprise dans son territoire. Cette découverte de l’entreprise est une façon d’amorcer le sujet de la stratégie de réseau, basée sur la connaissance des organisations (bancaires, institutionnelles, économiques, associatives) d’un territoire... Ce qui permet aux élèves de comprendre que l’intelligence des réseaux se fait naturellement sur le terrain avec des qualités relationnelles et altruistes. Entreprendre, c’est servir l’autre de façon utile, donc partager avec l’autre les termes d’un deal "gagnant / gagnant". Ce deal a une grande valeur, il établit le marché et crée des richesses.
  • 4) Création d’une histoire d’entreprise qui marche sous l’angle "reportage" et "fiction" : L’histoire doit être racontée par les étudiants en respectant un fil rouge. Cet exercice permet de partir de la personne qui parle de l’utilité de son rôle dans l’entreprise à travers son expertise "métier" et sa capacité à contribuer aux objectifs collectifs de l’entreprise. Rappeler aux étudiants que l’entreprise est une communauté de personnes qui ont des intérêts communs à savoir : évoluer dans une organisation où chaque individu peut pratiquer son métier de façon optimale et tendre vers l’accomplissement de valeurs responsables et solidaires. La bonne pratique de son métier apporte de la qualité à l’offre de sorte à répondre au plus près des besoins et attentes du marché. On participe alors à la dynamique collective de l’entreprise.
  • 5) Souligner la composante "relationnelle entre les personnes" donc développer des qualités de communication informatives et altruistes (partage des connaissances), et reprendre les grandes composantes financières, marketing, juridiques, commerciales, RH, communication, avec des business modèles qui aident à comprendre que derrière une direction marketing, il n’y a pas un tableau excel, mais un individu "marketeur" intégré dans une équipe avec d’autres "marketeurs" qui doivent savoir être en phase avec les commerciaux, qui eux-mêmes doivent être en connexion avec.....etc. etc.

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